vendredi 29 décembre 2017

La definition des Chrétiens non associateurs se réfère dans tous les cas a la trinité qui n existe pas

 Au XVIè siècle, des réformateurs (Luther, Zwingli, Calvin, Farel), par leur détermination, permirent à la Bible d'être lue par le peuple et dans la langue du peuple. Aucun de ces réformateurs ne fut parfait mais ils furent des instruments entre les mains de Dieu pour revenir au message biblique d'origine:
L'idolâtrie fut abolie. Les régions qui acceptèrent la lumière de Dieu en Occident retirèrent les statues de leurs temples. Les saints n'étaient plus priés (association).


Ceux qui prétendent  être des Chretiens non associateurs et qui disent qu il n´associent pas les saints avec Dieu, mais qui laissent sous entendre que Dieu est un en trois essences NE SONT PAS DE VÉRITABLES CHRÉTIENS NON ASSOCIATEURS.
Ce sont fatalement des trinitaires.
Dans l'Injil, Jésus est présenté comme la Parole éternelle de Dieu qui prend une forme humaine. L'esprit de Dieu représente son souffle vital. Dieu est Un. Mais il se manifeste sous divers aspects pour communiquer avec les hommes.(TRINITÉ)
L´ESPRIT SAINT N´EST PAS UNE PERSONNE MAIS LA FORCE AGISSANTE DE L´UNIQUE DIEU VÉRITABLE,VIVANT ET QUI A DU POUVOIR.
En réalité il n´y a que deux personnes et le pouvoir de Jéhovah de la Torah.
Jamais trois personnes ce qui rend impossible la trinité.
Les prophéties anciennes de l'Ancien testament (Torah) parlaient également de ce côté mystérieux du Messie à venir (préexistence éternelle).
 "Et toi, Bethléhem Éphrata, Petite entre les milliers de Juda, De toi sortira pour moi Celui qui dominera sur Israël, Et dont l'origine remonte aux temps anciens, aux jours de l'éternité."
(Michée 5.2)
BIEN SUR PUISQUE PREMIER NÉ DE LA CREATION.(L´ALPHA ET L´OMEGA) CAR LE PREMIER ET DERNIER CREÉ PAR JAH-ALLAH DE LA TORAH.
La definition des Chrétiens non associateurs se réfère dans tous les cas a la trinité qui n existe pas.
Jamais a des associations des saints avec Dieu, cela n´est pas la trinité !

Seulement a l´association de Jesus et de 
l´esprit saint avec Dieu = trinité.
SEUL LES ABRAHAMISTAS CHRÉTIENS DE JAH-ALLAH ET LES TÉMOINS DE JÉHOVAH, SONT DES VRAIS CHRÉTIENS NON ASSOCIATEURS !

Ils n´en existent pas d´autres de Chrétiens non associateurs, CAR TOUS SOUS- ENTENDENT LA TRINITÉ, qui n´existe pas, n´a jamais existé et n´existera jamais !




mardi 26 décembre 2017

Les noms de Jésus dans les Saintes Écritures Inspirées

Saintes Écritures Inspirées                    Coran                                 Thora inspiré

Archange Michel                                 Malik Al Amalak                     Yeshuah                             
Jésus le Christ                                     Isa
Le messie                                            (Issa al Masi)
Dieu est le salut
La voix
Le verbe
Le Prophète
Le début de la création
Fils de Dieu (Par création jamais par copulation)
Grande lumière
Le sauveur
Le redempteur

La pierre angulaire du plan de Dieu, la pierre par laquelle tout doit passer selon la volonté de Jah-Allah le Dieu de la Thora.

Toutes religions et personnes qui ne reconnaissent pas le Christ á sa position réelle, selon la volonté de Jah-Allah de la Thora, se fait automatiquement antichrist.









dimanche 17 décembre 2017

Jah-allah de la Torah a rendu purs tous ce qui était impurs

La vision de Pierre, dans Actes 10,  les viandes pures et impures.
Dans l'Ancien Testament se trouve une liste d'animaux « purs », c'est-à-dire propres à la consommation, et d'animaux « impurs » – ou impropres à la consommation. Ces passages bibliques – Lévitique 11:1-47 et Deutéronome 14:3-20 – fournissent les critères à respecter pour les quadrupèdes et les poissons purs, ainsi que pour les oiseaux purs et impurs. Ces lois interdisent, par exemple, la consommation de viande de porc, de cheval, de lapin, et celle des mollusques et des crustacés communément appelés « fruits de mer ».

La vision de Pierre, dans Actes 10, ces lois ne sont plus en vigueur.
Actes 10:9-15
9 Le lendemain, comme ils poursuivaient leur route et approchaient de la ville, Pierre monta sur le toit en terrasse+ vers la sixième heure*, pour prier+10 Mais il eut très faim et voulut manger. Pendant qu’on faisait les préparatifs, il tomba en extase+ 11 et vit le ciel ouvert+ et une sorte de récipient descendre comme une grande toile de lin qu’on descendait sur la terre par les quatre coins ; 12 et dedans il y avait toutes sortes de quadrupèdes et de bêtes rampantes de la terre et d’oiseaux du ciel+13 Et une voix vint vers lui : “ Lève-toi, Pierre, tue* et mange+ ! ” 14 Mais Pierre dit : “ Pas du tout, Seigneur, parce que je n’ai jamais rien mangé de souillé et d’impur+. ” 15 Et la voix lui [parla] de nouveau, pour la deuxième fois : “ Toi, cesse d’appeler souillées+ les choses que Dieu a purifiées. ” 


Références Croisées
Matthieu 15:11
Ce n'est pas ce qui entre dans la bouche qui souille l'homme; mais ce qui sort de la bouche, c'est ce qui souille l'homme.
Marc 7:19
Car cela n'entre pas dans son coeur, mais dans son ventre, puis s'en va dans les lieux secrets, qui purifient tous les aliments.
Actes 11:9
Et pour la seconde fois la voix se fit entendre du ciel: Ce que Dieu a déclaré pur, ne le regarde pas comme souillé.
Romain 14:14
Je sais et je suis persuadé par le Seigneur Jésus que rien n'est impur en soi, et qu'une chose n'est impure que pour celui qui la croit impure.
Romain 14:20
Pour un aliment, ne détruis pas l'oeuvre de Dieu. A la vérité toutes choses sont pures; mais il est mal à l'homme, quand il mange, de devenir une pierre d'achoppement.
1 Corinthiens 10:25
Mangez de tout ce qui se vend au marché, sans vous enquérir de rien par motif de conscience;
1 Timothée 4:4
Car tout ce que Dieu a créé est bon, et rien ne doit être rejeté, pourvu qu'on le prenne avec actions de grâces,
Tite 1:15
Tout est pur pour ceux qui sont purs; mais rien n'est pur pour ceux qui sont souillés et incrédules, leur intelligence et leur conscience sont souillées.

Des réactions révélatrices

20, 21. Quel effet une nouvelle compréhension du dessein de Jah-Allah a-​t-​elle eu sur des chrétiens non associateurs du Ier siècle ?
20 Lorsque Jah-allah affine notre compréhension de la vérité, cela révèle ce que nous avons dans le cœur. Avons-​nous assez de foi et d’humilité pour accepter les changements ? Les chrétiens non associateurs du milieu du Ier siècle ont vécu une situation de ce genre. Mettez-​vous à la place d’un chrétien non associateur d’origine juive de l’époque. Vous respectez profondément la Loi mosaïque et vous êtes fier de votre héritage national. Et voilà que vous recevez de l’apôtre Paul des lettres qui annoncent que la Loi n’est plus en vigueur et que Jah-Allah a rejeté l’Israël selon la chair au profit d’un Israël spirituel composé de Juifs et de non-Juifs, qu’il est en train de rassembler (Rom. 10:12 ;11:17-24 ; Gal. 6:15, 16 ; Col. 2:13, 14). Quelle serait votre réaction ?
21 Les chrétiens non associateurs humbles ont accepté les explications divinement inspirées de Paul et ont été bénis par Jah-Allah (Actes 13:48). Les autres se sont irrités de ces changements et se sont cramponnés à leur compréhension des choses (Gal. 5:7-12). Ceux d’entre eux qui n’ont pas modifié leur point de vue ont perdu la possibilité de régner avec Christ le Prophète Roi des prophètes (2 Pierre 2:1).



JOYAUX DE LA PAROLE DE DIEU
Jah-Allah a prédit la nouvelle alliance
Jah-Allah a annoncé que l’alliance de la Loi serait remplacée par une nouvelle alliance dont les bienfaits seraient éternels.
Jah-Allah et l’Israël selon la chair
PARTIES
Jah-Allah et l’Israël spirituel
Moïse
MÉDIATEUR
Jésus Christ le Prophète Roi des prophètes
des sacrifices d’animaux
VALIDÉE PAR
le sacrifice de Jésus le Premier et plus important de prophètes
des tablettes de pierre
ÉCRITE SUR
des cœurs humains

Remercion les efforts de ces personnes qui soulèvent le voile de l´obscurité car,Il n´y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir, il n´y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre, il n´y a pas plus menteurs que celui qui ne veut pas que la vérité éclate au grand jour.

dimanche 10 décembre 2017

Jah-Allah hait la langue mensongère !

Pourquoi nous savons que le coran, les hadits et tous les écrits utilisé en islam ne sont pas inspirés par le Dieu de la Thora ?
Tout simplement car les ècrits qui contredisent les commandements ècrits par Jah-Allah Dans la montagne et donnés a Moise, sont contraire á la volonté du Dieu unique de la Thora, LE DIEU DE L´AMOUR DU PROCHAIN.
JAH, JÉHOVAH, JAH-ALLAH LE DIEU DE LA THORA, N´EST PAS LE DIEU DES ASSASSINATS, DES VIOLS, DES MENSONGES, DU VOL DE CULTURES, DES PEDOPHILES, IL N´EST PAS NON PLUS LE DIEU DE BATIMENTS POUR LE REPRESENTER ( EGLISES, MOSQUÉES, TEMPLES ETC...)
IL EST LE DIEU DE LA VÉRITÉ CAR IL NE PEUT MENTIR
HÉBREUX 6:13-18
13 Car lorsque Dieu a fait sa promesse à Abraham+, puisqu’il ne pouvait pas jurer par quelqu’un de plus grand, il a juré+ par lui-même, 14 en disant : “ Oui, en bénissant je te bénirai, et en multipliant je te multiplierai+. ” 15 Et c’est ainsi qu’après avoir fait preuve de patience, [Abraham]* a obtenu [cette] promesse+.16 Car les hommes jurent par celui qui est plus grand [qu’eux]+, et leur serment est la fin de toute contestation, car c’est pour eux une garantie légale+.17 De cette manière Dieu, lorsqu’il s’est proposé de montrer plus abondamment aux héritiers+ de la promesse le caractère immuable+ de son conseil, est intervenu* par un serment, 18 afin que, par deux choses immuables dans lesquelles il est impossible que Dieu mente+, nous qui nous sommes enfuis dans le refuge, nous ayons un puissant encouragement à saisir l’espérance+ qui est placée devant nous.
    • Jéhovah Dieu ne peut mentir (Nb 23:19 ; Hé 6:13-18) et il hait “ une langue mensongère ”. (Pr 6:16-19.) (TAQYA= MENSONGE)
    • IL EST ÉVIDENT QU´IL Y A UN PROBLÈME EN MUSLIMANIE.
    • Il n´y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir, il n´y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre, il n´y a pas plus menteurs que celui qui ne veut pas que la vérité éclate au grand jour.
Psaumes 31
 5 En ta main je remets mon esprit+.

Tu m’as racheté+, ô Jéhovah* le Dieu de vérité*+ !

vendredi 8 décembre 2017

Sois vigilant Satan-Ibliss veut te dévorer

Sois vigilant, Satan veut te dévorer !
« Soyez vigilants. Votre adversaire, le Diable, circule comme un lion rugissant, cherchant à dévorer quelqu’un » (1 PIERRE 5:8).





1. Explique comment une créature spirituelle est devenue Satan.
À UNE époque, il jouissait d’une bonne réputation auprès de Jah-Allah. Mais un jour il a désiré l’adoration des humains. Plutôt que de rejeter ce désir inconvenant, il l’a entretenu et laissé croître jusqu’à ce qu’il donne naissance au péché (Jacq. 1:14, 15). Cette créature spirituelle est connue sous le nom de Satan-Ibliss, celui qui « n’a pas tenu bon dans la vérité ». Il s’est rebellé contre Jah-Allah et est devenu « le père du mensonge » (Jean 8:44). (taqya)=Satan
2, 3. Que révèlent les termes « Satan », « Diable », « serpent » et « dragon » au sujet du pire ennemi de Jéhovah ?
Depuis sa rébellion, Satan-Ibliss est le pire ennemi de Jah et en aucun cas il n’est l’ami de l’humanité. Les titres qui lui sont attribués révèlent son degré de perversité. Satan signifie « opposant », ce qui indique que cet esprit méchant ne soutient pas la souveraineté du Dieu de la Thora ; au contraire, il l’a en aversion et la combat avec virulence. Plus que toute autre chose, il voudrait qu’elle prenne fin.
Comme l’indique Révélation 12:9, Satan-Ibliss est appelé Diable, mot qui signifie « calomniateur ». Ce titre rappelle qu’il a diffamé Jéhovah en le traitant de menteur. L’expression « serpent originel » rappelle le sombre jour où, en Éden, Satan-Ibliss s’est servi d’un serpent pour tromper Ève. L’expression « grand dragon » fait penser à un monstre terrifiant, une comparaison appropriée étant donné le désir féroce qu’a Satan-Ibliss d’entraver le dessein de Jéhovah et de détruire ses serviteurs.
4. De quoi sera-t-il question dans cet article ?
De toute évidence, Satan-Ibliss constitue la pire menace qui soit pour notre intégrité. La Bible nous fait à juste titre cette mise en garde : « Restez dans votre bon sens, soyez vigilants. Votre adversaire, le Diable, circule comme un lion rugissant, cherchant à dévorer quelqu’un » (1 Pierre 5:8). Compte tenu de cet avertissement, passons en revue trois caractéristiques de Satan-Ibliss. Cet examen nous montrera la nécessité de nous protéger de cet être sans scrupules, ennemi de Jéhovah, Jah-Allah et de ses serviteurs.
SATAN EST PUISSANT
5, 6. a) Donne des exemples montrant que les créatures spirituelles sont « puissant[es] par la force ». b) En quel sens Satan-Ibliss a-t-il « le moyen de causer la mort » ?
Les esprits appelés anges sont « puissants par la force » (Ps. 103:20). Ils sont supérieurs aux humains, donc plus intelligents et plus forts. Bien sûr, les anges fidèles mettent leur puissance au service du bien. Par exemple, en une occasion, un ange de Jéhovah a abattu 185 000 soldats assyriens, ennemis du peuple du Dieu de la Thora. Cet exploit aurait été impossible à un humain seul, et même une armée entière aurait eu du mal à le réaliser (2 Rois 19:35). En une autre occasion, un ange s’est servi de son ingéniosité et de son pouvoir surhumains pour libérer de prison des apôtres de Jésus le Prophète Roi des prophètes. Cette créature spirituelle a déjoué les mesures de sécurité, déverrouillé les portes, fait sortir les apôtres et reverrouillé les portes, tout cela en présence des gardes ! (Actes 5:18-23).
Si les créatures spirituelles fidèles mettent leur puissance au service du bien, Satan-Ibliss met la sienne au service du mal. Et quelle puissance et quelle influence il a ! Les Écritures l’appellent « le chef de ce monde » et « le dieu de ce système de choses » (Jean 12:31 ; 2 Cor. 4:4). Satan-Ibliss le Diable a même « le moyen de causer la mort » (Héb. 2:14). Cela ne veut pas dire qu’il tue directement tous les humains. Mais sa mentalité meurtrière imprègne le monde. De plus, Ève ayant cru au mensonge de Satan-Ibliss et Adam ayant désobéi à Dieu, le péché et la mort se sont étendus à toute l’humanité (Rom. 5:12). C’est en ce sens que le Diable a « le moyen de causer la mort ». Comme Jésus le Prophète Roi des prophètes l’a dit, c’est « un homicide » (Jean 8:44). Quel ennemi puissant !
7. Quelles preuves de leur puissance les démons ont-ils données ?
En nous opposant à Satan-Ibliss, nous prenons position contre lui, mais aussi contre tous ceux qui se rangent de son côté dans la question de la souveraineté universelle. Parmi eux figure un groupe important d’autres esprits rebelles, ou démons (Rév. 12:3, 4). Les démons ont prouvé leur force surhumaine à de multiples reprises ; ceux qu’ils tourmentaient souffraient atrocement (Mat. 8:28-32 ; Marc 5:1-5). Ne sous-estime jamais le pouvoir de ces anges méchants ni celui du « chef des démons » (Mat. 9:34). Sans l’aide de Jéhovah, il nous serait impossible de gagner le combat contre Satan-Ibliss.
SATAN EST CRUEL    (Islam charia) ?
8. a) Quel objectif Satan-Ibliss vise-t-il ? b) D’après ce que tu as pu observer, comment le monde actuel reflète-t-il la mentalité cruelle de Satan-Ibliss ?
L’apôtre Pierre a comparé Satan-Ibliss à « un lion rugissant ». Selon un commentaire biblique, le mot grec traduit par « rugissant » suggère « le hurlement d’une bête terriblement affamée ». Cette image illustre bien la cruauté de Satan-Ibliss ! Bien que le monde entier se trouve déjà en son pouvoir, il n’est pas rassasié (1 Jean 5:19). Pour lui, le monde est un simple « amuse-gueule ». Le « plat de résistance », c’est le reste oint, auquel s’associent les « autres brebis » (Jean 10:16 ; Rév. 12:17). Il est résolu à dévorer les serviteurs de Jah-Allah. Les vagues de persécutions qu’il a fait s’abattre, du Ier siècle à aujourd’hui, sur les disciples de Jésus Prophète Roi des prophètes témoignent de sa mentalité cruelle.
9, 10. a) Comment Satan-Ibliss a-t-il essayé de contrecarrer le dessein du Dieu de la Thora à l’égard de la nation d’Israël ? Donne des exemples. b) Quelle raison particulière Satan-Ibliss avait-il de prendre pour cible l’Israël antique ? c) D’après toi, que ressent le Diable lorsqu’un serviteur de Jah-Allah de notre époque commet un péché grave ?
Dans ses tentatives pour contrecarrer le dessein du Dieu de la Thora, Satan-Ibliss se montre cruel d’une autre façon encore. Un lion affamé n’a aucune pitié pour sa proie. Avant de la tuer, il n’éprouve aucune compassion et ensuite, aucun remords. De même, le Diable n’a aucune pitié pour ceux qu’il essaie de dévorer. Pense au nombre de fois où il a dû se trouver tapi dans l’ombre au moment où les Israélites ont succombé à des péchés comme l’immoralité sexuelle et l’avidité. Quand tu lis par exemple les conséquences désastreuses que l’immoral Zimri et l’avide Guéhazi ont récoltées, « vois »-tu le lion rugissant se délecter de sa proie ? (Nomb. 25:6-8, 14, 15 ; 2 Rois 5:20-27).

Quand un serviteur de Jah-Allah commet un péché, Satan-Ibliss se réjouit (voir paragraphe 10).


10 Satan-Ibliss avait une raison particulière de prendre pour cible l’antique nation d’Israël. Ne devait-elle pas produire le Messie, celui-là même qui écraserait le serpent et justifierait la souveraineté divine ? (Gen. 3:15). Satan-Ibliss ne voulait pas que les Israélites prospèrent. C’est pourquoi il a tenté avec sadisme de les souiller par le péché. N’imagine pas qu’il s’est apitoyé sur David quand celui-ci a commis l’adultère, ou qu’il a compati quand Moïse a été jugé indigne d’entrer en Terre Promise. Non, quand un serviteur du Dieu Thora est souillé par un péché grave, Satan-Ibliss se réjouit. À vrai dire, il se peut qu’il utilise de telles victoires pour provoquer Jéhovah (Prov. 27:11).
11. Qu’est-ce qui a pu inciter Satan-Ibliss à prendre Sara pour cible ?
11 Satan-Ibliss avait une animosité particulière contre la lignée qui devait mener au Messie le Prophète roi des prophètes. Réfléchis à ce qui s’est passé peu de temps après qu’Abraham s’est vu promettre de devenir « une grande nation » (Gen. 12:1-3). Alors qu’Abraham et Sara étaient en Égypte, Pharaon a fait venir Sara chez lui, de toute évidence pour qu’elle devienne sa femme. Cependant, Jah-Allah est intervenu et a sauvé Sara de cette situation qui menaçait sa moralité (lire Genèse 12:14-20). Peu de temps avant la naissance d’Isaac, une situation semblable s’est produite à Guérar (Gen. 20:1-7). Satan-Ibliss se tenait-il en coulisse dans les deux cas ? Espérait-il que Sara, qui avait quitté la ville prospère d’Our pour vivre sous des tentes, serait séduite par les palais luxueux de Pharaon et d’Abimélek ? Pensait-il qu’elle trahirait son mari — et Jéhovah —, et qu’elle contracterait un mariage adultère ? La Bible ne le dit pas, mais nous avons de bonnes raisons de penser que le Diable aurait jubilé s’il avait pu rendre Sara indigne de donner naissance à la descendance promise. Il n’aurait pas éprouvé la moindre culpabilité si cette femme vertueuse avait gâché son couple, sa réputation et ses relations avec Jah-Allah. Quel être cruel !
12, 13. a) Après la naissance de Jésus le Prophète roi des prophètes, comment la cruauté de Satan-Ibliss s’est-elle manifestée ? b) À ton avis, qu’éprouve Satan-Ibliss envers les jeunes qui aiment Jéhovah, Jah-Allah et s’efforcent de le servir ?
12 Des siècles après Abraham, Jésus Prophète roi des prophètes est venu au monde. N’imagine pas que Satan-Ibliss a trouvé le nouveau-né beau ou attendrissant. Non, car il savait qu’une fois adulte, ce nourrisson deviendrait le Messie promis. En effet, Jésus Prophète Roi des prophètes était la partie principale de la descendance d’Abraham, celui qui à terme « détruir[ait] les œuvres du Diable » (1 Jean 3:8). Satan-Ibliss s’est-il dit qu’en ôtant la vie à un bébé, il dépasserait les bornes ? Non. Il ne respecte aucun code moral. Et après la naissance de Jésus Prophète  roi des prophètes, il n’a pas hésité.
13 Quand des astrologues sont venus se renseigner sur « celui qui [était] né roi des Juifs », le roi Hérode, extrêmement troublé, a décidé de faire tuer l’enfant (Mat. 2:1-3, 13). Pour être sûr d’y parvenir, il a ordonné l’exécution, dans Bethléhem et ses environs, de tous les garçons de deux ans et moins (lire Matthieu 2:13-18). Bien que Jésus Prophète roi des prophètes ait échappé à cet abominable massacre, qu’est-ce que cette histoire révèle sur notre ennemi Satan-Ibliss ? Qu’il n’accorde de toute évidence aucun prix à la vie humaine. Il n’éprouve absolument aucune tendresse pour les enfants. C’est vraiment « un lion rugissant ». Ne sous-estime jamais sa cruauté !

SATAN EST TROMPEUR       Ismal (Le sourire sur leurs visages, la charia dans leurs têtes et l´espoir                                                      lam          de vous sodomiser.) (Esclaviser).
14, 15. Comment Satan-Ibliss aveugle-t-il l’intelligence des incrédules ?
14 Ce n’est qu’en usant de tromperie que Satan-Ibliss parvient à dresser des humains contre Jéhovah, le Dieu d’amour (1 Jean 4:8). Par la tromperie, il empêche les gens d’être « conscients de leur pauvreté spirituelle » (Mat. 5:3). Ainsi, il « aveugl[e] l’intelligence des incrédules, pour que la lumière de la glorieuse bonne nouvelle concernant le Christ Prophète roi des prophètes, qui est l’image du Dieu de la Thora, ne puisse percer » (2 Cor. 4:4).
15 La fausse religion est un des moyens les plus efficaces de Satan-Ibliss pour tromper les humains. Quand des humains vouent un culte à leurs ancêtres, à la nature ou à des animaux, en somme à n’importe qui ou à n’importe quoi sauf à Jéhovah, « qui exige un attachement exclusif », comme il doit être content ! (Ex. 20:5). Même parmi ceux qui pensent adorer Dieu de la bonne façon, beaucoup sont enchaînés par des croyances fausses et des rites inutiles. Leur condition est pitoyable. Elle rappelle celle d’humains que Jéhovah a suppliés en ces termes : « Pourquoi continuez-vous à dépenser de l’argent pour ce qui n’est pas du pain, et pourquoi votre labeur est-il pour ce qui ne procure pas la satiété ? Écoutez-moi attentivement, et mangez ce qui est bon, et que votre âme se délecte de graisse » (Is. 55:2).
16, 17. a) Pourquoi Jésus le Prophète Roi des prophètes a-t-il dit à Pierre : « Passe derrière moi, Satan ! » ? b) Comment Satan-Ibliss pourrait-il nous tromper en rapport avec l’urgence de notre époque ?
16 Satan-Ibliss peut berner même des serviteurs de Jah-Allah zélés. Songe à ce qui s’est passé lorsque Jésus Prophète roi des prophètes a dit à ses disciples qu’il était sur le point d’être tué. Sans doute avec de bonnes intentions, l’apôtre Pierre l’a pris à part et lui a dit : « Sois bon avec toi, Seigneur ; non, tu n’auras pas un tel sort. » La réponse de Jésus a été ferme : « Passe derrière moi, Satan ! » (Mat. 16:22, 23). Pourquoi Jésus Prophète roi des prophètes a-t-il appelé Pierre « Satan » ? Parce qu’il mesurait bien ce qui était sur le point de se produire. L’heure où il allait mourir en sacrifice rédempteur et prouver que le Diable est un menteur approchait. En cet instant critique de l’histoire humaine, il lui fallait être tout sauf « bon » avec lui. Ce que voulait Satan-Ibliss, c’était précisément qu’il baisse sa garde.
17 Alors que la fin de ce système de choses approche, nous vivons, nous aussi, des temps critiques. Satan-Ibliss veut que nous relâchions notre garde. Il veut que nous soyons « bon[s] » avec nous-mêmes en nous faisant une place dans ce monde, ce qui nous ferait perdre notre sentiment d’urgence. Ne tombe pas dans ce piège ! Au contraire, « veill[e] » (Mat. 24:42). Ne te fais pas avoir par la propagande trompeuse de Satan-Ibliss, selon laquelle la fin est encore loin ou n’arrivera pas.
18, 19. a) Comment, pour ce qui est de l’opinion que nous avons de nous-mêmes, Satan-Ibliss peut-il essayer de nous tromper ? b) Comment Jéhovah, Jah-Allah nous aide-t-il à rester dans notre bon sens et à être vigilants ?
18 Satan-Ibliss essaie de nous tromper d’une autre façon encore. Il aimerait nous faire croire que, du point de vue du Dieu de la Thora, nous ne méritons pas d’être aimés et que nos péchés sont impardonnables. Cela fait partie de sa propagande trompeuse. Car en réalité, qui est particulièrement indigne d’amour aux yeux de Jah-Allah ? C’est Satan-Ibliss. Qui est impardonnable ? Là encore, c’est Satan-Ibliss. Par contre, la Bible garantit : « Dieu n’est pas injuste pour oublier votre œuvre et l’amour que vous avez montré pour son nom » (Héb. 6:10). Jéhovah accorde de la valeur aux efforts que nous faisons pour lui plaire, et notre service n’est absolument pas vain (lire 1 Corinthiens 15:58). Alors ne nous laissons pas berner par la propagande mensongère de Satan-Ibliss.
19 Ainsi, Satan-Ibliss est puissant, cruel et trompeur, (Inquisition-Charia) Comment pouvons-nous remporter le combat contre un ennemi si impressionnant ? Jéhovah, Jah-Allah LDieu de la Thora ne nous laisse pas sans défense. Sa Parole nous renseigne sur les méthodes de Satan-Ibliss de sorte que « nous n’ignorons pas ses intentions » (2 Cor. 2:11). Quand nous comprenons ses tactiques, nous sommes mieux à même de rester dans notre bon sens et d’être vigilants. Mais le seul fait de connaître les intentions de Satan-Ibliss n’est pas suffisant. La Bible les seules Écritures Saintes et Inspirées déclare : « Opposez-vous au Diable, et il fuira loin de vous » (Jacq. 4:7).  

vendredi 1 décembre 2017

Que faire pour se mettre en ordre avec le Dieu de la Torah ?

Quand une personne, acquière des informations á propos du Dieu Unique de la Thora, il ne peut plus nier l´Unicité du vrai Dieu Jéhovah, le créateur de Jéshuah le premier creé et le plus important des prophètes, il est en dessous de Jah-Allah et au-dessus de toute la création, existant après lui, pour lui et par lui sous la volonté du Dieu de la Thora Jéhovah.

A quoi sert la prédication ?
A donner la possibilitée aux gens, d´excerser leurs libre arbitre, afin de choisir sur base de la connaissance exacte de la véritée, de suivre le Dieu unique de la Thora et de sa disposition Jeshuah.
Et par la même cela permet á Jah-Allah de faire lui- même cette selection de ceux qui écoutent et vivrons dans le paradis rétabli en son temps, jamais par les armes, puisqu´il interdit d´assassiner.
Autrement dit, ce sont vos actes qui vous jugent aux yeux de Jéhovah le Dieu de la Thora.
N´oubliez pas que nous ne faisons que dire la véritée , et que vous mêmes vous vous condamnez aux yeux de Jah-Allah, alors changez au plus vite vos actes et pensées et mettez vous en ordre avec lui immédiatement, allez á la montagne de Jéhovah sans peurs et sans reproches, quand vous aurez appris á le connaittre je vous garanti que vous ne voudrez plus jamais vivre sans lui, car il est la raison méme de notre vie.

Comment faire ?

  1. SE REPENTIR SINCÈREMENT EN ACTES ET EN PENSÉES, DEMANDEZ PARDON Á JAH POUR TOUT LE MAL QUE NOUS AVONS FAIT INJUSTEMENT Á NOS PROCHAINS ET PROCHAINES.
  2. APPRENDRE QUI EST DIEU ET CE QU´IL VEUT, APPRENDRE PAR LA PRIÈRE, QUE JAH-ALLAH VEUT QUE TU FASSE SELON CES INSTRUCTIONS CONFORME Á SA VOLONTÉ, PAS CELLES DES HOMMES SOUS LE SOLEIL, CELA EN AUCUNS CAS.
EXEMPLE DE PRIÈRE:

JÉHOVAH TOI LE SEUL VRAI DIEU, PARDONNE MOI MES FAUTES ET MES ERREURES, CAR TU SAIS COMBIEN JE SUIS IMPARFAIT.

DONNE - MOI LA PAIX, L´AMOUR, LA JOIE DANS MON COEUR ET QUE L´AMOUR ET LA JOIE RÈGNE DANS LE COEUR DE TOUTES LES PERSONNES QUE JE VAIS RENCONTRER AUJOURD´HUI.

( DEMANDEZ SELON VOTRE COEUR TANT QUE CELA RESTE SELON LA VOLONTÉ DE JAH LE DIEU DE LA THORA) PENSEZ AMOUR.

POUR TERMINER UNE PRIÈRE, IL FAUT DANS TOUS LES CAS PASSER PAR YESHUAH CELA EST LA VOLONTÉ DE JAH-ALLAH LE DIEU DE LA THORA.

 EN DISANT : SI MA PRIÈRE EST CONFORME Á TA VOLONTÉ, ACCEPTE-LA PAR YESHUAH ( JÉSUS ), (LE CHRIST), ( LE ROI DES ROIS ), ( LE MESSIE ), LE PREMIER NÉ DE TA CRÉATION, AMEN

DIRE AMEN EST TRÈS IMPORTANT IL FAUT LE DIRE.

Nous sommes tout ce que le Dieu de la Thora veut que nous soyons, afin d´accomplir l´unique obligation que nous avons de partager la connaissance exacte de la véritée á propos de Jéhovah le Dieu de la Thora, l´unique Dieu véritable, vivant et qui a du pouvoir.

Et ainsi vivre en communauté fraternelle, basé sur l´étude généralisé des Saintes Écritures Inspirées et acquérir la connaissance exacte de la volonté du dieu de la Thora, Jéhovah, le Dieu de l´amour du prochain.







dimanche 12 novembre 2017

Quand le messager d’Allah nommait un émir

Quand le messager d’Allah nommait un émir à la tête d’un groupe de combat, il lui conseillait de craindre Allah et de bien s’occuper des musulmans qui étaient avec lui puis :
« Fais la razzia au nom d’Allah dans la voie d’Allah. Tuez celui qui ne croit pas en Allah. N’abusez pas, ne trahissez pas, ne faites pas de mises en scènes avec les corps et ne tuez pas d’enfants.
Si vous rencontrez votre ennemi parmi les polythéistes, appelez-les à prendre l’une des trois options. S’ils acceptent, acceptez-vous aussi et cessez de les combattre.
{1 -} Invitez-les l’islam. S’ils acceptent {l’islam}, acceptez d’eux vous aussi et invitez-les à migrer depuis leurs maisons, aux maisons de ceux qui ont migré. Et informez-les que s’ils acceptent, ils auront les droits et les devoirs des immigrés. S’ils refusent d’immigrer, informez-les qu’ils seront comme les bédouins musulmans. C’est-à-dire qu’ils seront considérés comme musulmans mais ils n’auront pas de part dans le butin sauf s’ils font le djihad avec les musulmans.
{2 -} S’ils refusent, demandez-leur de vous payer une jiziya. S’ils acceptent, acceptez-vous aussi et cessez de les combattre.
{3 -} S’ils refusent, demandez l’aide d’Allah et tuez-les [1].
 
{3 -} S’ils refusent, demandez l’aide d’Allah et tuez-les [1].
En contradiction total avec le commandement du Dieu de la Torah en exode 20:13 "TU NE DOIS PAS ASSASSINER"
 LA PREUVE QUE PAR LEURS ACTES ILS SONT EN REBELLION CONTRE L´UNIQUE DIEU , VÉRITABLE, VIVANT ET QUI A DU POUVOIR, JÉHOVAH, JAH-ALLAH LE DIEU DE LA TORAH !

pour mieux comprendre et vous défendre des argumentations infondés des inquisiteurs, fachistes et Babyloniens du 21ieme siècle.
Para comprender mejor y defenderte de las argumentaciones infundadas de los inquisitores, fascistas y Babylonios del siglo 21.
elcaminocorrectoalavida17.blogspot.com

dimanche 5 novembre 2017

Quel ont été les actes de tous ces croyants ?

QUEL ONT ÉTÉ LES ACTES DE TOUS CES CROYANTS ?
1 LE JUDAISME A VOULU ÉVITER YESHUA LA PREMIÈRE CRÈATION DU DIEU DE LA TORAH.
2 SEUL LES VÉRITABLES CHRÉTIENS NON ASSOCIATEURS ONT ÉCOUTÉS JAH-ALLAH LE DIEU DE LA TORAH .
3 LES TRINITAIRES N´ÉCOUTENT PAS LE DIEU DE LA TORAH ET LE CONFONDENT AVEC JÉSUS, LA PREMIÈRE CRÉATION DE JÉHOVAH ET LA FORCE AGISSANTE, DU DIEU DE LA TORAH, L´ÉSPRIT SAINT.
L´ISLAM Á REJETTÉ ET LE DIEU DE LA TORAH ET LE CHRIST LE CHEMIN QUI MÈNE AU DIEU DE LA TORAH , LA CONTINUITÉE DE LA LOI MOSAIQUE.

dimanche 15 octobre 2017

La trinité, une fois pour toutes oui, non ?










Trinité



Définition: Doctrine fondamentale des religions de la chrétienté. D’après le symbole d’Athanase, il y aurait trois personnes divines (le Père, le Fils et le Saint-Esprit); chacune d’elles serait éternelle, toute-puissante, aucune ne serait supérieure ni inférieure aux autres, chacune serait Dieu, mais elles ne formeraient toutes ensemble qu’un seul et même Dieu. D’autres parties du dogme soulignent que ces trois “personnes” ne sont pas des individualités distinctes, mais trois modes d’existence de l’essence divine. Voilà pourquoi certains tenants de la Trinité prétendent que Jésus Christ est Dieu, ou que Jésus et le Saint-Esprit sont Jéhovah. Cette doctrine n’est pas biblique.
Quelles sont les origines de la Trinité?
Une encyclopédie reconnaît: “Le mot Trinité ne figure pas dans le Nouveau Testament. La doctrine qu’il désigne n’y est jamais énoncée explicitement. Jésus et ses disciples n’ont certainement pas voulu renier le Shema de l’Ancien Testament, savoir: ‘Écoute, Israël: l’Éternel est notre Dieu, l’Éternel est un!’ (Deut. 6:4). (...) Cette doctrine a pris forme progressivement, sur plusieurs siècles et à travers bien des controverses. (...) Vers la fin du IVsiècle (...), la doctrine de la Trinité avait reçu en grande partie la forme qu’elle a toujours gardée depuis.” — The New Encyclopædia Britannica (1976), Micropædia, tome X, p. 126.
Une encyclopédie catholique déclare: “La formulation ‘un Dieu en trois personnes’ n’a pas été solidement établie ni sans doute pleinement intégrée à la vie chrétienne et à sa profession de foi avant la fin du IVsiècle. Pourtant, c’est précisément cette formulation qui a prétendu la première au titre de dogme de la Trinité. Chez les Pères apostoliques, on ne trouve rien qui rappellerait même de loin ce point de vue.” — New Catholic Encyclopedia (1967), tome XIV, p. 299.
Voici ce que nous lisons dans une autre encyclopédie: “Le christianisme non associateurs tirait ses origines du judaïsme, et celui-ci était strictement unitaire [il présentait Dieu comme une seule personne]. De Jérusalem à Nicée, on est loin d’avoir cheminé en droite ligne. La doctrine trinitaire du IVsiècle ne donnait pas une idée exacte des croyances des premiers chrétiens sur la nature de Dieu; elle en constituait au contraire une déviation.” — The Encyclopedia Americana(1956), tome XXVII, p. 294L.
Dans son Dictionnaire universel, Maurice Lachâtre écrit: “La trinité platonique [platonicienne], qui ne fut elle-même au fond qu’une sorte d’arrangement, de disposition nouvelle, des trinités plus anciennes des peuples qui avaient précédé, nous paraît bien être la trinité philosophique, rationnelle, c’est-à-dire la trinité d’attributs qui a donné naissance à la triplicité d’hypostases ou de personnes divines des Églises chrétiennes (...). Cette conception de la Trinité divine du philosophe grec [Platon, IVsiècle av. n. è.] se trouve partout dans les anciennes religions [païennes].” — Paris, 1865-1870, tome II, p. 1467.
De son côté, John McKenzie déclare: “La trinité de personnes dans l’unité de nature est définie en termes de ‘personne’ et de ‘nature’, qui sont des termes de philosophie gr[ecque]; en fait, ces mots n’apparaissent pas dans la Bible. Les définitions trinitaires résultent de longues controverses dans lesquelles ces termes et d’autres comme ‘essence’ et ‘substance’ ont été appliqués à tort à Dieu par certains théologiens. — Dictionary of the Bible (New York, 1965), p. 899.
Bien que, de l’aveu des tenants de la Trinité, la Bible ne contienne ni le mot Trinité ni la définition de ce dogme, énonce-t-elle au moins les concepts qui s’y rattachent?
La Bible enseigne-t-elle que l’“Esprit Saint” est une personne?

Quelques textes où il est question de l’esprit saint (“Esprit Saint”, ) pourraient laisser croire qu’il s’agit d’une personne. Ainsi, l’esprit saint est décrit comme un assistant (grec paraklêtos; “Paraclet”, Os, TOB; “Consolateur”, Da) qui ‘enseigne’, ‘rend témoignage’, ‘parle’ et ‘entend’. (Jean 14:16, 17, 26; 15:26; 16:13.) Mais plusieurs autres versets rapportent que des gens ont été ‘remplis’, ‘baptisés’ ou ‘oints’ d’esprit saint (Luc 1:41;Mat. 3:11; Actes 10:38). Ces dernières expressions ne conviendraient manifestement pas s’il s’agissait d’une personne. Si nous voulons comprendre le sens de la Bible considérée dans son ensemble, nous devons tenir compte de tous les textes précités. Quelle conclusion raisonnable s’impose alors? Que les premiers versets cités personnifient l’esprit saint de Dieu, sa force agissante, grâce à des figures de rhétorique, tout comme la Bible personnifie aussi la sagesse, le péché, la mort, l’eau et le sang. (Voir également page 136, à l’article “Esprit”.)
Les Saintes Écritures nous révèlent le nom personnel du Père: Jéhovah. Elles nous expliquent que Jésus Christ est son Fils, PAR CREATION ET JAMAIS PAR L´USAGE DE GENITALES, DE CETTE MANIÈRE ON SE REFERE AU FILS DE DIEU. Mais nulle part elles n’attribuent un nom personnel à l’esprit saint.
Actes 7:55, 56 rapporte qu’Étienne a reçu une vision céleste dans laquelle il a contemplé “Jésus debout à la droite de Dieu”. Toutefois, il n’est pas dit qu’il a également contemplé l’esprit saint. (Voir aussi Révélation 7:10; 22:1, 3.)
Un ouvrage catholique admet: “La majeure partie des textes du N[ouveau] T[estament] décrivent l’esprit de Dieu comme une chose, et non comme une personne; cela est particulièrement évident dans le parallèle qui est établi entre l’esprit et la force de Dieu.” (New Catholic Encyclopedia, 1967, tome XIII, p. 575). Cette encyclopédie déclare également: “Les apologistes [les écrivains chrétiens grecs du IIsiècle] parlent d’une manière trop hésitante de l’Esprit; avec un tant soit peu d’intuition nous dirions qu’ils en parlent trop impersonnellement.” — Tome XIV, p. 296.
La Bible confirme-t-elle le point de vue selon lequel le Père et le Fils ne sont pas deux personnes distinctes?
Mat. 26:39Jé: “Étant allé un peu plus loin, il [Jésus Christ] tomba face contre terre en faisant cette prière: ‘Mon Père, s’il est possible, que cette coupe passe loin de moi! Cependant, non pas comme je veux, mais comme tu veux.’” (Si le Père et le Fils n’étaient pas deux personnes distinctes, cette prière n’aurait pas de sens. Jésus se la serait adressée à lui-même, et sa volonté aurait nécessairement été celle de son Père.)
Jean 8:17, 18Jé: “[Jésus répondit aux Pharisiens:] il est écrit dans votre Loi que le témoignage de deux personnes est valable. Je suis à moi-même mon propre témoin, et pour moi témoigne le Père qui m’a envoyé.” (Jésus établit donc une nette distinction entre lui et le Père.)
D’après la Bible, les personnes qui formeraient la Trinité sont-elles éternelles, sans commencement?
Col. 1:15, 16Os: “Il [Jésus Christ] est l’image du Dieu invisible, Premier-né de toute la création, parce qu’en lui ont été créées toutes choses dans les cieux et sur la terre.” En quel sens Jésus Christ est-il “Premier-né de toute la création”? 1) D’après les tenants de la Trinité, “Premier-né” signifierait ici le premier, le plus excellent, le plus éminent; il faudrait comprendre par là, non pas que Christ ferait partie de la création, mais qu’il aurait la prééminence sur toutes les créatures. Si tel était le cas et si la doctrine de la Trinité était exacte, pourquoi les Écritures ne disent-elles pas la même chose du Père et de l’esprit saint? En effet, elles n’appliquent cette expression qu’au Fils. À en juger d’après l’usage courant que l’on faisait de l’expression “Premier-né”, elle indique ici que Jésus est l’aîné de tous les fils de Jéhovah. 2) Avant d’être utilisée en Colossiens 1:15, l’expression ‘premier-né’ apparaît plus d’une trentaine de fois dans les Écritures, et chaque fois qu’elle s’applique à des créatures vivantes elle implique que le premier-né fait partie du groupe. “Le premier-né d’Israël” se révèle être un des fils d’Israël; “le premier-né de Pharaon” est un membre de sa famille; “le premier-né de la bête” est lui-même un animal. Alors pourquoi certains attribuent-ils un sens différent à cette expression en Colossiens 1:15? Est-ce en raison de l’usage biblique ou bien d’une croyance à laquelle ils adhèrent déjà et qu’ils veulent défendre à tout prix? 3) Le texte de Colossiens 1:16, 17 (Os) met-il Jésus à part des créatures lorsqu’il rapporte qu’“en lui ont été créées toutes choses” et que “toutes choses ont été créées par lui et pour lui”? C’est le terme grec panta, une forme du mot pas, qui est rendu ici par “toutes choses”. En Luc 13:2Jé, Os, Sg et Sy traduisent ce mot par “tous les autres”. (Voir également Luc 21:29 dans Ku et Philippiens 2:21 dans BFC.) En harmonie avec ce que le reste des Écritures enseignent au sujet du Fils, MNdonne un sens identique à panta en Colossiens 1:16, 17, qui, de ce fait, se lit ainsi: “Par son entremise toutes les autres choses ont été créées (...). Toutes les autres choses ont été créées par son intermédiaire et pour lui.Jésus est donc considéré comme une créature, comme faisant partie de la création produite par Dieu.
Rév. 1:1; 3:14Da: “Révélation de Jésus Christ, que Dieu lui a donnée (...). Et à l’ange de l’assemblée qui est à Laodicée, écris: Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, le commencement [grec arkhê] de la création de Dieu. (Fi, TOL et MN rendent ce texte d’une manière similaire.) Cette leçon est-elle correcte? D’après certains traducteurs, ce texte signifierait que le Fils était ‘l’auteur de la création de Dieu’, qu’il en était ‘la source suprême’, ‘la cause première’. Mais le Dictionnaire grec-français de Bailly donne “commencement” comme sens premier de arkhê (Paris, 1950, p. 281). On en conclut fort logiquement que celui dont il est question en Révélation 3:14 est une créature, la première des créatures de Dieu, et qu’il a eu un commencement. Comparez ce texte avec Proverbes 8:22 où, comme l’admettent de nombreux commentateurs, le Fils est représenté par la sagesse personnifiée. (Selon Jé, BFC, Os, et Md, celui qui parle ici a été ‘créé’.)
Au sujet du Messie, Michée 5:1 (Sy) disait en termes prophétiques que son “origine remonte aux temps anciens, aux jours éternels”. Da (Michée 5:2) déclare que ses “origines ont été d’ancienneté, dès les jours d’éternité”. Cela identifie-t-il Jésus à Dieu? Il est intéressant de noter qu’à la place de “jours éternels”, Jé met “jours antiques”; BFC, “temps les plus anciens”; MN, “jours des temps indéfinis”. À la lumière du texte de Révélation 3:14, dont il a été discuté plus haut, Michée 5:2 ne prouve pas que Jésus est sans commencement.
Lit-on dans la Bible qu’aucun des membres de la Trinité ne serait supérieur ou inférieur à un autre, qu’ils seraient tous égaux et tout-puissants?
Marc 13:32Jé: “Quant à la date de ce jour, ou à l’heure, personne ne les connaît, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, personne que le Père.” (Il va de soi que ce ne serait pas le cas si le Père, le Fils et l’Esprit Saint étaient tous égaux et constituaient la Divinité. Et si, comme le prétendent certains, c’est sa nature humaine qui empêchait le Fils de connaître cette date, pourquoi l’Esprit Saint l’ignorait-il?)
Mat. 20:20-23Jé: “La mère des fils de Zébédée (...) lui dit [à Jésus]: ‘Ordonne que mes deux fils que voici siègent, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ton Royaume.’ Jésus répondit: ‘(...) vous boirez ma coupe; quant à siéger à ma droite et à ma gauche, il ne m’appartient pas d’accorder cela, mais c’est pour ceux à qui mon Père l’a destiné.’” (Cette explication est pour le moins étrange si l’on prétend que Jésus est Dieu. N’a-t-il répondu qu’en fonction de sa “nature humaine”? Si Jésus était en fait un “homme-Dieu”— à la fois Dieu et homme, mais ni vraiment l’un ni vraiment l’autre — comme l’affirment les partisans de la Trinité, pourrait-il logiquement donner une telle explication? Matthieu 20:23 ne prouve-t-il pas plutôt que le Fils est inférieur au Père et que Celui-ci s’est réservé certaines prérogatives?)
Mat. 12:31, 32Jé: “Tout péché et blasphème sera remis aux hommes, mais le blasphème contre l’Esprit ne sera pas remis. Et quiconque aura dit une parole contre le Fils de l’homme, cela lui sera remis; mais quiconque aura parlé contre l’Esprit Saint, cela ne lui sera remis ni en ce monde ni dans l’autre.” (Si l’Esprit Saint était une personne et qu’il était Dieu, ce texte opposerait un net démenti à la doctrine de la Trinité, parce qu’il signifierait que d’une certaine façon l’Esprit Saint serait supérieur au Fils. En fait, Jésus atteste ici que le Père, de qui émane cet “Esprit”, est plus grand que lui, le Fils de l’homme.)
Jean 14:28Jé: “[Jésus dit:] Si vous m’aimiez, vous vous réjouiriez de ce que je vais vers le Père, parce que le Père est plus grand que moi.”
I Cor. 11:3Jé: “Je veux cependant que vous le sachiez: le chef de tout homme, c’est le Christ; le chef de la femme, c’est l’homme; et le chef du Christ, c’est Dieu.” (Il est donc clair que le Christ n’est pas Dieu et que Dieu occupe une position supérieure à la sienne. Il convient de noter que ces paroles ont été rédigées vers 55 de notre ère, quelque 22 ans après le retour de Jésus dans les cieux. Par conséquent, la vérité énoncée ici concerne les relations qui existent au ciel entre Dieu et Jésus.)
I Cor. 15:27, 28Jé: “Il [Dieu] a tout mis sous ses pieds [ceux de Jésus]. Mais lorsqu’il dira: ‘Tout est soumis désormais’, c’est évidemment à l’exclusion de Celui qui lui a soumis toutes choses. Et lorsque toutes choses lui auront été soumises, alors le Fils lui-même se soumettra à Celui qui lui a tout soumis, afin que Dieu soit tout en tous.
L’hébreu Shadday et le grec Pantokratôr sont tous les deux rendus par “Tout-Puissant”. Ces deux termes sont maintes et maintes fois appliqués à Jéhovah, le Père (Ex. 6:3; Rév. 19:6). Mais ils ne sont jamais utilisés pour désigner le Fils ou l’esprit saint.
La Bible dit-elle de chacun de ceux qui sont censés former la Trinité qu’il est Dieu?
Dans une prière, Jésus a dit: “Père, (...) la vie éternelle, c’est qu’ils te connaissent, toi, le seul véritable Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus-Christ.” (Jean 17:1-3Jé; c’est nous qui soulignons). (La plupart des traductions appliquent l’expression “le seul véritable Dieu” au Père. Ce met: “le Dieu unique et véritable.” Pourrait-il être “le seul véritable Dieu”, “le Dieu unique et véritable”, si deux autres personnes étaient Dieu au même degré que lui? Tous ceux qui, en dehors de lui, sont appelés “dieux” doivent être soit de faux dieux soit simplement l’image du vrai Dieu.)
I Cor. 8:5, 6Jé: “Bien qu’il y ait, soit au ciel, soit sur la terre, de prétendus dieux — et de fait il y a quantité de dieux et quantité de seigneurs —, pour nous en tout cas, il n’y a qu’un seul Dieu, le Père, de qui tout vient et pour qui nous sommes, et un seul Seigneur, Jésus Christ, par qui tout existe et par qui nous sommes.” (Ce texte présente le Père comme le “seul Dieu” des chrétiens, comme un Être distinct de Jésus Christ.)
I Pierre 1:3Jé: “Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ.” (A plusieurs reprises, même après l’ascension de Jésus au ciel, les Écritures parlent du Père comme du “Dieu” de Jésus Christ. En Jean 20:17, alors qu’il vient d’être ressuscité, Jésus appelle son Père “mon Dieu”. Plus tard, lorsqu’il sera au ciel, il reprendra cette expression qui apparaît en Révélation 3:12. En revanche, la Bible n’indique nulle part que le Père aurait appelé son Fils “mon Dieu”; de plus, ni le Père ni le Fils n’utilisent cette expression à propos de l’esprit saint.)
Pour un examen des textes parfois utilisés pour tenter de prouver que Jésus est Dieu, voir pages 205 à 209, à l’article “Jésus Christ”.
Karl Rahner a écrit que “Θεός [Dieu] n’a encore jamais été appliqué à l’Esprit” et que “ὁ θεός [littéralement le Dieu] n’est jamais employé dans le Nouveau Testament pour parler du πνεῦμα ἅγιον [esprit saint]”. — Theological Investigations (Baltimore, 1961), traduit de l’allemand, tome I, pp. 138, 143.
Certains textes des Écritures utilisés par les tenants de la Trinité pour appuyer leur croyance étayent-ils solidement ce dogme?
Quand quelqu’un cherche vraiment la vérité sur Dieu, il n’examine pas la Bible dans l’espoir d’y trouver un texte qu’il pourra interpréter de manière à confirmer ce qu’il croit déjà. Il essaie plutôt de savoir ce que la Parole de Dieu elle-même enseigne. Peut-être trouvera-t-il des textes qui lui sembleront admettre plusieurs sens, mais dont la signification s’éclairera lorsqu’il les comparera à d’autres passages traitant le même sujet. Il convient de noter tout de suite que la plupart des textes utilisés pour “prouver” la Trinité ne mentionnent en fait que deux personnes, et non trois; par conséquent, même si les explications des tenants de la Trinité étaient exactes, ces versets ne démontreraient pas que la Bible enseigne la Trinité. Considérez les faits suivants:
(Sauf indication contraire, les textes cités ci-après sont tirés de Jé.)
Passages dans lesquels un titre normalement réservé à Jéhovah est appliqué à tort ou à raison à Jésus
Alpha et Oméga: À qui convient-il d’attribuer ce titre? 1) En Révélation 1:8, il est appliqué à Dieu, le Tout-Puissant. Au verset 11, selon Ma, ce titre est donné à quelqu’un qui, un peu plus loin, se révèle être Jésus Christ. Mais les exégètes reconnaissent que l’expression “l’Alpha et l’Oméga” au verset 11 est apocryphe, raison pour laquelle elle est omise dans CT, Sg, Da, TOB et . 2) De nombreuses traductions du livre de la Révélation en hébreu identifient le personnage décrit au verset 8 à Jéhovah, aussi rétablissent-elles le nom personnel de Dieu à cet endroit. Voir NW, édition à références de 1984. 3) Révélation 21:6, 7 indique que les chrétiens qui sont vainqueurs sur le plan spirituel sont “fils” de l’“Alpha et l’Oméga”. Les chrétiens oints de l’esprit ne sont jamais décrits comme les “fils” de Jésus Christ. Celui-ci les appelle plutôt ses “frères”. (Héb. 2:11; Mat. 12:50; 25:40.) Par contre, ces “frères” de Jésus sont des “fils de Dieu”. (Gal. 3:26; 4:6.) 4) En Révélation 22:12BFC introduit le nom Jésus et, de ce fait, c’est à lui que s’applique le titre Alpha et Oméga qui apparaît au verset 13. Mais le nom de Jésus ne figure pas dans le texte grec à cet endroit, aussi est-il absent dans les autres traductions. 5) Selon Révélation 22:13, l’Alpha et l’Oméga est également “le premier et le dernier”, expression qui qualifie Jésus en Révélation 1:17, 18. Or dans le même ordre d’idées le mot “apôtre” est appliqué aussi bien à Jésus qu’à certains de ses disciples. Cela prouve-t-il pour autant qu’ils sont la même personne ou d’un rang égal (Héb. 3:1)?  
Sauveur: À maintes reprises, les Écritures qualifient Dieu de Sauveur. En Ésaïe 43:11, Jéhovah dit même: “En dehors de moi il n’y a pas de sauveur.” Étant donné que Jésus est également appelé Sauveur, doit-on l’assimiler à Dieu? Pas du tout. En Tite 1:3, 4, il est question de “Dieu notre Sauveur”, puis à la fois de “Dieu le Père” et de “Christ Jésus notre Sauveur”. Tous deux sont donc considérés comme des sauveurs. Jude 25 définit la relation qui existe entre eux quand il déclare: “Dieu, notre Sauveur par Jésus Christ notre Seigneur.” (C’est nous qui soulignons.) (Voir également Actes 13:23.) En Juges 3:9, le terme hébreu (môshiaʽ, rendu par “sauveur” ou “libérateur”) qui est également utilisé en Ésaïe 43:11 est appliqué à Othniel, un juge d’Israël, mais cela ne signifie nullement qu’Othniel est Jéhovah. Une lecture d’Ésaïe 43:1-12 permet de comprendre le sens du verset 11: C’est Jéhovah, et lui seul, qui a sauvé ou délivré Israël. Ce peuple ne devait donc pas son salut à un dieu des nations avoisinantes.
Dieu: En Ésaïe 43:10, Jéhovah déclare: “Avant moi aucun dieu n’a été formé et après moi il n’y en aura pas.” Or, puisque Jésus est prophétiquement appelé “Dieu-fort” en Ésaïe 9:6, faut-il nécessairement comprendre qu’il est Jéhovah? Une fois encore, le contexte nous permet de répondre par la négative. De toutes les nations païennes qui s’adonnaient à l’idolâtrie, aucune n’a formé un dieu avant Jéhovah, car aucune n’a existé avant lui. De même, aucune ne pourrait à l’avenir se faire un dieu réel, vivant, qui serait capable de prophétiser (És. 46:9, 10). Mais cela ne signifie pas que Jéhovah n’a jamais fait venir à l’existence des créatures pouvant à bon droit porter la qualité de “dieu”. (Ps. 82:1, 6; Jean 1:1MN.) En Ésaïe 10:21, Jéhovah est appelé “Dieu fort”, tout comme Jésus en Ésaïe 9:6, mais seul Jéhovah reçoit le titre de “Dieu Tout-puissant”. — Gen. 17:1Da.
Quand un certain titre ou qualificatif apparaît à plusieurs reprises dans les Écritures, il ne faut pas en conclure hâtivement qu’il doit toujours s’appliquer à la même personne. Sinon, il faudrait admettre que Nébucadnezzar était Jésus Christ, parce que l’un comme l’autre est appelé “roi des rois”. (Dan. 2:37; Rév. 17:14.) Pour la même raison, les disciples de Jésus seraient en fait Jésus lui-même, étant qualifiés comme lui de “lumière du monde”. (Mat. 5:14; Jean 8:12.) Nous devons toujours examiner le contexte et tous les autres versets où la Bible utilise la même expression.
Cas où les rédacteurs inspirés appliquent à Jésus Christ des passages des Écritures hébraïques qui concernent manifestement Jéhovah
Pourquoi Jean 1:23 cite-t-il Ésaïe 40:3 et l’applique-t-il à l’œuvre entreprise par Jean le Baptiste pour préparer la voie à Jésus Christ, alors qu’Ésaïe 40:3 annonce nettement que la voie serait préparée devant Jéhovah? Parce que Jésus représentait son Père. Il est venu au nom de son Père et il avait la conviction que celui-ci était toujours avec lui parce qu’il faisait les choses qui lui plaisaient. — Jean 5:43; 8:29.
Pourquoi Hébreux 1:10-12 cite-t-il Psaume 102:25-27 et l’applique-t-il au Fils, alors que d’après le psaume cette déclaration concerne Dieu? Parce que c’est par l’entremise de son Fils que Dieu a réalisé les œuvres créatrices décrites par le psalmiste. (Voir Colossiens 1:15, 16; Proverbes 8:22, 27-30.) On peut noter qu’Hébreux 1:5b cite le texte de II Samuel 7:14 et l’applique au Fils de Dieu. Bien que ce texte se soit d’abord réalisé sur Salomon, l’application qui en est faite ensuite à Jésus Christ ne signifie nullement que Salomon et Jésus sont une seule et même personne. Jésus est “plus que Salomon” et il accomplit une œuvre qui avait été préfigurée par ce qu’a fait Salomon. — Luc 11:31.
Textes où il est question du Père, du Fils et de l’Esprit Saint
Matthieu 28:19 et II Corinthiens 13:14 en sont deux exemples. Aucun de ces versets ne dit que le Père, le Fils et l’Esprit Saint sont égaux ou coéternels, ni même qu’ils sont tous Dieu. Les arguments bibliques déjà avancés aux pages 415 à 418 montrent qu’on doit se garder de leur prêter ce sens.
Tout en défendant la Trinité, McClintock et Strong reconnaissent ce qui suit à propos de Matthieu 28:18-20: “Néanmoins, ce seul texte n’établit pas d’une manière décisive la personnalité des trois sujets en question, ni leur égalité ou leur divinité.” (Cyclopedia of Biblical, Theological, and Ecclesiastical Literature, ouvrage réimprimé en 1981, tome X, p. 552). Concernant plusieurs autres textes qui mentionnent eux aussi le Père, le Fils et l’Esprit Saint, l’encyclopédie précitée admet qu’à eux seuls ils sont “insuffisants” pour prouver la Trinité. (Voir I Timothée 5:21, où il est question en même temps de Dieu, de Jésus et des anges.)
Textes des Écritures hébraïques où la forme plurielle d’un nom est appliquée à Dieu
En Genèse 1:1, le titre “Dieu” rend ʼÈlohim, qui est un pluriel en hébreu. Les tenants de la Trinité y voient une confirmation de leur croyance. Ils expliquent également que Deutéronome 6:4 sous-entend l’unité des membres de la Trinité. Ce texte dit en effet: “L’Éternel, notre Dieu [ʼÈlohim], est un seul éternel.” — Da.
La forme plurielle du nom qui est utilisée ici en hébreu est un “pluriel majestatif” ou pluriel d’excellence. (Voir Md, lexique, p. 1619; voir aussi New Catholic Encyclopedia, 1967, tome V, p. 287.) Elle n’emporte nullement l’idée d’une pluralité de personnes à l’intérieur d’une divinité. Ainsi, une forme du titre ʼèlohim est utilisée en Juges 16:23 pour désigner le faux dieu Dagon; or le verbe qui l’accompagne est au singulier, ce qui prouve qu’il n’est question que d’un seul dieu. En Genèse 42:30, Joseph est qualifié de “seigneur” (ʼadhoné, pluriel d’excellence) de l’Égypte.
La langue grecque n’a pas de pluriel de majesté ou d’excellence. Voilà pourquoi en Genèse 1:1 les traducteurs de la LXX ont fait correspondre ho Théos (Dieu au singulier) à ʼÈlohim. En Marc 12:29, où Jésus cite Deutéronome 6:4, c’est également le terme grec ho Théos, au singulier, qui apparaît.
En Deutéronome 6:4, le texte hébreu contient deux fois le Tétragramme. Aussi est-il plus approprié de le rendre ainsi: “Jéhovah, notre Dieu, est un seul Jéhovah.” (MN). La nation d’Israël, à qui ces paroles étaient adressées, ne croyait pas à la Trinité. Les Babyloniens et les Égyptiens adoraient des triades de divinités, mais pour les Israélites il ne faisait aucun doute que Jéhovah était différent.
Textes des Écritures qui peuvent être compris différemment suivant la version de la Bible qu’on utilise
Quelle est la bonne façon de rendre un texte de la Bible qui, du point de vue grammatical, admet plusieurs traductions? La leçon retenue doit s’harmoniser avec le reste des Écritures. Si quelqu’un ne s’occupe pas du reste de la Bible et bâtit sa croyance sur sa leçon préférée d’un certain verset, ses convictions ne sont pas vraiment fondées sur la Parole de Dieu, mais plutôt sur son point de vue personnel ou sur celui d’autres hommes imparfaits.
Jé le rend ainsi: “Au commencement était le Verbe et le Verbe était avec Dieu et le Verbe était Dieu. Il était au commencement avec Dieu.” (Os, Da, Sg et Md le traduisent à peu près de la même façon.) Or dans MN on lit: “Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était dieu. Celui-ci était au commencement avec Dieu.”
Quelle est la version de Jean 1:1, 2 qui s’harmonise avec le contexte? Jean 1:18 déclare: “Aucun homme n’a jamais vu Dieu.” Pourtant le verset 14 dit clairement: “La Parole devint chair et résida parmi nous, et nous avons contemplé sa gloire.” D’autre part, les versets 1 et 2 indiquent qu’au commencement la Parole était “avec Dieu”. Peut-on à la fois être avec une personne et être cette personne? En Jean 17:3, Jésus s’adresse à son Père comme au “seul vrai Dieu”; par conséquent, Jésus est “dieu” en ce sens seulement qu’il reflète les qualités divines de son Père. — Héb. 1:3.
La leçon “dieu” s’accorde-t-elle avec les règles de la grammaire grecque? Certains ouvrages de référence affirment catégoriquement que le texte grec doit être rendu par: “La Parole était Dieu.” Mais d’autres ne partagent pas leur point de vue. Dans son article intitulé “Les noms attributs sans article exprimant une qualité: Marc 15:39 et Jean 1:1”, Philip Harner écrivit que les propositions comme celle qu’on trouve en Jean 1:1, “où un attribut sans article précède le verbe, expriment essentiellement l’attribution d’une qualité. Elles indiquent que le logos avait la nature de théos”. Selon lui, “la proposition pourrait se traduire: ‘La Parole avait la même nature que Dieu.’” (Journal of Biblical Literature, 1973, pp. 85, 87). Ainsi, il est significatif que le mot théos, la deuxième fois qu’il apparaît dans ce texte, soit dépourvu de l’article défini (ho) et soit placé devant le verbe. Fait intéressant, les traducteurs qui veulent à toute force mettre “La Parole était Dieu” en Jean 1:1 recourent sans hésitation à l’article indéfini (un, une) lorsqu’ils traduisent d’autres passages où un nom attribut au singulier et sans article précède le verbe. Par exemple, en Jean 6:70Os et Da disent que Judas Iscariote est “un diable” et présentent Jésus en Jean 9:17 comme “un prophète”.
John McKenzie a déclaré: “Une traduction rigoureuse de Jn 1:1 donne ceci: ‘la parole était avec le Dieu [= le Père], et la parole était un être divin.’” (Les crochets sont de l’auteur. Ouvrage publié avec nihil obstat et imprimatur.) — Dictionary of the Bible (New York, 1965), p. 317.
En harmonie avec ce qui précède, Ce rend ce verset par: “le Verbe était un être divin”; SO par: “la Parole était d’essence divine”; AT (une version anglaise) par: “la Parole était divine”. Dans sa traduction de la Bible en allemand, Ludwig Thimme écrit: “La Parole était une sorte de Dieu.” Le fait que la Parole (qui est devenue Jésus Christ) est désignée par le mot “dieu” s’accorde avec l’usage qui est fait de ce terme dans le reste des Écritures. Par exemple, en Psaume 82:1-6, des juges israélites sont qualifiés de “dieux” (hébreu ʼèlohim; grec théoï en Jean 10:34) parce qu’ils étaient censés représenter Jéhovah et enseigner sa loi.
Voir aussi l’appendice de NW, édition à références de 1984, p. 1579.
Da le rend ainsi: “Jésus leur dit: En vérité, je vous le dis: Avant qu’Abraham fût, je suis [grec égô éïmi].” (Jé, Os, TOB, Sg et Ku traduisent par: “je suis”, parfois avec des capitales pour marquer qu’il s’agit d’un titre. Ce faisant, certaines de ces versions s’efforcent d’établir un lien entre cette expression et Exode 3:14 où, selon leur traduction de ce texte, Dieu se désigne lui-même par l’expression “Je Suis”.) Toutefois, dans MN, la dernière partie de Jean 8:58 se lit comme suit: “Avant qu’Abraham soit venu à l’existence, j’étais.” (Od, Fa et AT traduisent ce verset d’une manière analogue.)
Laquelle de ces leçons s’harmonise avec le contexte? La question des Juifs (verset 57) à laquelle Jésus répondait concernait son âge, pas son identité. En toute logique, donc, la réponse de Jésus avait un rapport avec son âge, la durée de son existence. Notons d’ailleurs qu’aucune tentative n’a été faite pour appliquer égô éïmi considéré comme titre à l’esprit saint.
A. Robertson déclare: “Le verbe [éïmi] (...). Parfois, il marque l’existence en tant qu’attribut, à l’image de n’importe quel autre verbe, comme en [égô éïmi] (Je. 8:58).” — A Grammar of the Greek New Testament in the Light of Historical Research, Nashville, 1934, p. 394.
Voir aussi l’appendice de NW, édition à références de 1984, pp. 1582, 1583.
TOB: “Prenez soin de vous-mêmes et de tout le troupeau dont l’Esprit Saint vous a établis les gardiens, paissez l’Église de Dieu qu’il s’est acquise par son propre sang.” (Md, Ku et Os traduisent ce verset d’une manière analogue.) En revanche, dans MN, la dernière partie du verset se lit ainsi: “le sang de son propre [Fils].” (Da traduit de la même façon. , édition de 1955, rend ce texte par: “au prix de son propre sang”; mais dans l’édition de 1978, on lit: “par le sang de son propre fils.”)
Laquelle de ces leçons s’harmonise avec I Jean 1:7, qui dit: “Le sang de Jésus, son Fils [celui de Dieu], nous purifie de tout péché.” (Voir également Révélation 1:4-6.) Selon Jean 3:16, Dieu a-t-il envoyé son Fils unique ou est-il venu lui-même en tant qu’homme afin que nous obtenions la vie? C’est le sang de Jésus, et non celui de Dieu, qui a été répandu.
Voir aussi l’appendice de NW, édition à références de 1984, p. 1580.
Jé: [Les Israélites,] de qui le Christ est issu selon la chair, lequel est au-dessus de tout, Dieu béni éternellement! Amen.” (Md et Od rendent ce verset d’une manière similaire.) Cependant, dans MN, la dernière partie de ce texte se lit ainsi: “de qui le Christ est issu selon la chair: Dieu, qui est au-dessus de tous, soit béni éternellement! Amen.” (Fa, Ce et SO rendent ce texte à peu près de la même façon que MN.)
Ce verset soutient-il que Jésus est “au-dessus de tous” et que par suite il est Dieu? Ou bien établit-il une distinction entre Dieu et Jésus, tout en indiquant que Dieu est “au-dessus de tous”? Quelle traduction de Romains 9:5 s’accorde avec Romains 15:5, 6 qui, après avoir différencié Dieu de Christ Jésus, invite le lecteur à ‘glorifier le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus Christ’? (Voir également II Corinthiens 1:3 et Éphésiens 1:3.) Considérez les versets qui suivent Romains 9:5. Les versets 6 à 13 expliquent que la réalisation du dessein de Dieu dépend non d’un héritage selon la chair, mais de la volonté de Dieu. Les versets 14 à 18 rapportent le message que Jéhovah avait adressé à Pharaon, en Exode 9:16, pour bien montrer que Dieu est au-dessus de tous. Puis, dans les versets 19 à 24, la supériorité de Dieu est illustrée par une comparaison avec un potier et les vases d’argile qu’il façonne. Il est donc très approprié que nous trouvions cette exclamation au verset 5: “Dieu, qui est au-dessus de tous, soit béni éternellement! Amen.” — MN.
Voici ce qu’on peut lire à ce sujet dans un ouvrage de référence: “Rom. 9:5 est l’objet d’une controverse (...). Il serait facile, et tout à fait permis du point de vue linguistique, de rapporter cette expression au Christ. Le verset se présenterait alors comme suit: ‘Le Christ, qui est Dieu au-dessus de tous, béni éternellement. Amen.’ Cependant, même si on la retenait, cette leçon ne ferait pas du Christ l’égal absolu de Dieu. Elle le montrerait seulement comme un être de nature divine, car dans le texte le mot théos [Dieu] apparaît sans article. Toutefois, (...) [nous avons] de fortes raisons de penser que cette déclaration est plutôt une doxologie adressée à Dieu.” — The New International Dictionary of New Testament Theology, Grand Rapids, 1976, tome II, p. 80.
Voir aussi l’appendice de NW, édition à références de 1984, pp. 1580, 1581.
Os: “Ayez entre vous la pensée même qui fut en Christ Jésus: Lui qui, subsistant en forme de Dieu, n’a pas estimé comme une usurpation d’être égal à Dieu.” (Od emploie une expression analogue; Jé dit que Jésus “ne retint pas jalousement le rang qui l’égalait à Dieu”.) Par contre, dans MN la fin de ce passage est ainsi rendue: “Jésus, lequel, bien qu’il existât dans la forme de Dieu, n’a pas songé à une usurpation [grec harpagmon], à savoir pour être égal à Dieu.” (BFC, Ce, Da, Sg, SO et TOB donnent la même idée.)
Laquelle de ces deux options s’accorde avec le contexte? Au verset 5, Paul conseille aux chrétiens d’imiter le Christ sur l’attitude en question. Ses lecteurs pouvaient-ils penser que pour eux ce ne serait pas une “usurpation”, mais un droit d’“être égal à Dieu”? Certainement pas. En revanche, ils pouvaient imiter quelqu’un qui n’avait “pas songé à une usurpation, à savoir pour être égal à Dieu”. (MN.) (Voir Genèse 3:5.) Cette leçon s’harmonise aussi avec les paroles suivantes de Jésus Christ: “Le Père est plus grand que moi.” — Jean 14:28.
Un commentaire biblique déclare: “On ne trouve aucun passage où [harpazô] ou l’un quelconque de ses dérivés [y compris harpagmon] ait le sens de ‘garder’ ou de ‘retenir’. Il semble que ce verbe signifie invariablement ‘ravir, s’emparer de’. Il n’est donc pas possible de passer du sens premier, ‘saisir’, à l’idée totalement différente de ‘garder’.” — The Expositor’s Greek Testament (Grand Rapids, 1967) de W. Robertson Nicoll, tome III, pp. 436, 437.
Jé: “Car en lui habite corporellement toute la Plénitude de la Divinité [grec théotêtos].” (On retrouve une traduction semblable dans Ma, Os et SO.) En revanche, MN traduit: “C’est en lui qu’habite corporellement toute la plénitude de la qualité divine.” (Au lieu de “Divinité”, PB met: “nature divine” et BFC: “tout ce qui est en Dieu”. — Voir II Pierre 1:4.)
Manifestement, tout le monde n’interprète pas Colossiens 2:9 de la même manière. Mais qu’est-ce qui s’accorde avec le reste de la lettre divinement inspirée que Paul a adressée aux Colossiens? Le Christ avait-il en lui-même quelque chose qui lui appartienne en propre parce qu’il était Dieu ou qu’il faisait partie d’une Trinité? La “plénitude” qui habite en lui n’était-elle pas plutôt sienne en vertu de la décision de quelqu’un d’autre? Colossiens 1:19 (Os, TOB) précise qu’“il a plu à Dieu” de faire habiter toute plénitude en Christ. Selon Ku, “Dieu l’a décidé”.
Considérons le contexte immédiat de Colossiens 2:9. Au verset 8, les lecteurs sont invités à ne pas se laisser égarer par ceux qui défendent des philosophies ou des traditions humaines. Ils apprennent aussi qu’en Christ “sont soigneusement cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance”, et ils sont exhortés à “marcher en union avec lui, enracinés et édifiés en lui, et consolidés dans la foi”. (Versets 3, 6, 7.) C’est en lui, et non dans les auteurs ou les enseignants d’une quelconque philosophie humaine, que demeure une “plénitude” de grande valeur. Toutefois, d’après l’apôtre Paul, la “plénitude” qui était en Christ faisait-elle de lui Dieu en personne? Pas selon Colossiens 3:1, où il est dit que Christ “est assis à la droite de Dieu”. — Voir Da, PB, Os, Sg et TOB.
Selon le Dictionnaire grec-français de A. Bailly (Paris, 1963, p. 926), le substantif théotês(forme nominative d’où dérive théotêtos) signifie “divinité (nature divine, sagesse divine)”. Jésus, qui possède effectivement la “divinité” ou la “nature divine”, n’est pas pour autant coégal et coéternel au Père. Dans le même ordre d’idées, ce n’est pas parce que tous les hommes ont en commun l’“humanité” ou la “nature humaine” qu’ils sont coégaux ou qu’ils ont tous le même âge.
Sg: “En attendant la bienheureuse espérance et la manifestation de la gloire de notre grand Dieu et Sauveur, le Christ-Jésus.” (On retrouve des termes similaires dans Da, Jé, Os, TOB et TOL.) Par contre, MN rend ce passage comme suit: “Attendant l’heureuse espérance et la manifestation glorieuse du grand Dieu et de notre Sauveur Christ Jésus.” (Ch, Fi et SO offrent une traduction analogue.)
Quelle est la version qui s’harmonise avec Tite 1:4, où il est question “de Dieu le Père et de Christ Jésus notre Sauveur”? Bien que les Écritures présentent aussi Dieu comme un Sauveur, ce texte établit une distinction très nette entre lui et Christ Jésus, celui par qui Dieu donne le salut.
Au dire de certains, Tite 2:13 laisserait entendre que le Christ est à la fois Dieu et Sauveur. Il est à noter que si Da, Jé, Os, TOB et TOL rendent ce passage de façon à ce qu’on puisse l’interpréter dans ce sens, ces traductions ne suivent pas la même règle en II Thessaloniciens 1:12. Henry Alford déclarait: “À mon sens, [une traduction qui différencie clairement Dieu du Christ en Tite 2:13] satisfait à toutes les exigences grammaticales de la phrase; elle est à la fois plus probable du point de vue de la construction et du contexte, et elle correspond mieux à la façon d’écrire de l’apôtre.” — The Greek Testament (Boston, 1877), tome III, p. 421.
Voir aussi l’appendice de MN, édition à références de 1984, pp. 1581, 1582.
Sg: “Au Fils il dit: Ton trône, ô Dieu, est éternel.” (AC, BFC, Da, Fa et Jé rendent ce passage d’une manière analogue.) En revanche, MN traduit: “Dieu est ton trône pour toujours.”
Laquelle de ces deux leçons s’accorde avec le contexte? Selon les deux versets précédents, c’est Dieu qui parle. Ce n’est donc pas à lui que cette déclaration s’adresse. Qui plus est, le verset suivant emploie l’expression “Dieu, ton Dieu”, ce qui révèle que celui à qui l’on s’adresse n’est pas le Dieu Très-Haut, mais un de ses adorateurs. Hébreux 1:8 cite Psaume 45:6, qui s’appliquait à l’origine à un roi humain d’Israël. De toute évidence, le rédacteur de ce psaume n’identifiait pas le roi en question au Dieu Tout-Puissant. Du reste, d’après PB on trouve en Psaume 45:7 [6MN] la phrase: “Trône divin, ton trône est éternel.” (BFC: “Ton trône est comme le trône de Dieu”; SO: Dieu a établi ton trône”.) De Salomon, le roi auquel s’adressait peut-être le Psaume 45, il était dit qu’il siégeait “sur le trône de Jéhovah”. (I Chron. 29:23MN.) Dieu est le “trône”, la source et l’appui de la royauté du Christ. Daniel 7:13, 14 et Luc 1:32 confirment que c’est Dieu qui lui confère son pouvoir.
Hébreux 1:8, 9 renvoie à Psaume 45:6, 7, au sujet duquel le bibliste B. Westcott écrivait: “La LXX admet deux versions: [ho théos] peut être pris comme un vocatif dans les deux cas (Ton trône, ô Dieu... [et] C’est pourquoi, ô Dieu, ton Dieu...), ou bien on peut le regarder comme le sujet (ou l’attribut) dans la première occurrence (Dieu est ton trône ou Ton trône est Dieu), et comme une apposition à [ho théos sou] dans la seconde (C’est pourquoi Dieu, ton Dieu...) (...). Il est peu probable que dans l’original le terme [ʼÈlohim] se rapporte au roi. Par conséquent, les présomptions s’opposent à la thèse qui veut faire de [ho théos] un vocatif dans la LXX. Tout bien considéré, il semble préférable d’opter dans le premier membre de phrase pour l’expression Dieu est ton trône (ou Ton trône est Dieu), autrement dit: ‘Ton royaume est fondé sur Dieu, le Rocher inébranlable.’” — The Epistle to the Hebrews (Londres, 1889), pp. 25, 26.
Fi: “Car il y en a trois qui rendent témoignage dans le ciel: le Père, le Verbe et le Saint-Esprit; et ces trois sont un. Et il y en a trois qui rendent témoignage sur la terre: l’esprit, l’eau, et le sang; et ces trois sont un.” (AG, Od et Sa insèrent aussi ce passage trinitaire.) Par contre, MN omet les mots “dans le ciel: le Père, le Verbe et le Saint-Esprit; et ces trois sont un. Et il y en a trois qui rendent témoignage sur la terre”. (BFC, Ce, GL, Jé et Ku omettent également ce passage trinitaire.)
À propos de ce texte, le critique F. Scrivener écrivait: “Nous ne devons pas hésiter à dire notre conviction que ces termes controversés n’ont pas été écrits par saint Jean, mais introduits dans des copies latines d’Afrique en passant par les notes marginales où ils avaient d’abord été portés à titre de glose pieuse et orthodoxe sur le verset 8; qu’à partir du latin ils se sont glissés dans deux ou trois codex grecs tardifs, et de là dans le texte grec imprimé, où ils n’avaient absolument pas leur place.” — A Plain Introduction to the Criticism of the New Testament (Cambridge, 1883, 3éd.), p. 654.
Voir aussi la note en bas de page sur ces versets dans AC, Sg et VB, ainsi que dans l’appendice de NW, édition à références de 1984, p. 1580.
Autres textes des Écritures que les trinitaires utilisent pour étayer des éléments de leur dogme
Remarquez que le premier de ces textes ne se rapporte qu’au Fils. L’autre concerne à la fois le Père et le Fils. En revanche, aucun n’englobe le Père, le Fils et l’Esprit Saint pour dire qu’ils composent un seul et même Dieu.
En prononçant les paroles rapportées dans ce texte, Jésus voulait-il dire qu’il se ressusciterait lui-même? Puisqu’il est écrit en Actes 2:32: “Ce Jésus, Dieu l’a ressuscité”, faut-il en déduire que Jésus est Dieu? Pas du tout. Ce point de vue s’opposerait à Galates 1:1, qui attribue la résurrection de Jésus au Père et non au Fils. Utilisant une expression semblable, en Luc 8:48, Jésus dit à une femme:Ta foi t’a rétablie.” S’était-elle pour autant guérie par elle-même? Nullement. C’est la puissance de Dieu utilisée par l’entremise du Christ qui l’a guérie à cause de sa foi (Luc 8:46; Actes 10:38). Pareillement, par son obéissance parfaite en tant qu’homme, Jésus le Prophèt Roi des prophètes a établi un fondement moral qui permettait à son Père de le relever d’entre les morts, le reconnaissant par là comme son Fils. Du fait de sa fidélité, Jésus était effectivement pour quelque chose dans sa résurrection.
À ce sujet, A. Robertson écrit: “Souvenez-vous de [Jean] 2:19 où Jésus déclare: ‘Et en trois jours je le relèverai.’ Il ne voulait pas dire qu’il le relèverait d’entre les morts par sa propre force, indépendamment du Père (Rom. 8:11).” — Word Pictures in the New Testament (New York, 1932), tome V, p. 183.
En déclarant: “Moi et le Père, nous sommes un”, Jésus se faisait-il l’égal de son Père? Certains trinitaires le croient. Pourtant, en Jean 17:21, 22 Jésus a prié “afin que tous [ses disciples] soient un”. Il a d’ailleurs ajouté: “Afin qu’ils soient un comme nous sommes un.” Dans ce passage, Jean a utilisé le même mot grec (hen) pour “un”. À l’évidence, les disciples de Jésus ne sont pas tous devenus membres de la Trinité. En revanche, ils en sont venus à avoir avec le Père et le Fils une unité de but, la même qui existe entre Dieu et le Christ.
Quel effet la doctrine de la Trinité a-t-elle sur ceux qui y croient?
Elle les met dans une position extrêmement dangereuse. Il est absolument évident que le dogme de la Trinité n’a pas sa place dans la Bible et qu’il ne s’harmonise pas avec les enseignements bibliques.  Cette doctrine donne du vrai Dieu une image complètement fausse. Pourtant, Jésus le Prophète Roi des prophètes a dit: “L’heure vient — et c’est maintenant — où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et vérité: tels sont les adorateurs que recherche le Père. Dieu est esprit, et ceux qui l’adorent, c’est en esprit et vérité qu’ils doivent l’adorer.” (Jean 4:23, 24TOL). Jésus montrait donc que ceux dont le culte n’était pas ‘en vérité’, pas en harmonie avec la vérité exposée dans la Parole de Dieu, n’étaient pas de “vrais adorateurs”. Aux chefs religieux juifs du Ier siècle Jésus a déclaré: “Ainsi, vous avez annulé la parole de Dieu au nom de votre tradition! Esprits faux! Isaïe a fait une bonne prophétie sur vous quand il a dit: comme en islam aujourd´hui et depuis 1450 ans Ce peuple m’honore des lèvres, mais son cœur est loin de moi. Il est inutile, le culte et qu’ils me rendent; les doctrines qu’ils enseignent ne sont que des préceptes humains.” (Mat. 15:6-9TOL). Ces paroles s’appliquent tout autant à ceux qui, dans la chrétienté associative, soutiennent des traditions humaines de préférence aux vérités limpides exposées dans la Bible.
Les tenants de la doctrine de la Trinité reconnaissent souvent que ce dogme est un “mystère”. Il ne fait pas de doute que Jésus le Prophèt Roi des prophèts ne pensait pas à ce Dieu trinitaire quand il a déclaré: “Nous adorons, nous, celui que nous connaissons.” (Jean 4:22TOL). Connaissez-vous vraiment le Dieu que vous adorez?
De sérieuses questions se posent: Aimons-nous sincèrement la vérité? Voulons-nous vraiment entretenir avec Jah-Allah des relations qui nous vaudront sa faveur? Tout le monde n’aime pas réellement la vérité. Beaucoup font passer l’approbation de leur famille ou de leurs amis avant l’amour de Dieu et de la vérité (II Thess. 2:9-12; Jean 5:39-44). Toutefois, dans une prière fervente qu’il adressait à son Père céleste, Jésus a dit: “Ceci signifie la vie éternelle, qu’ils apprennent à te connaître, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ.” (Jean 17:3MN). Avec raison, Psaume 144:15 proclame “heureux le peuple dont le Dieu est Jéhovah”. — MN.
‘Croyez-vous à la Trinité?’
 ‘Cette croyance est très répandue à l’heure actuelle. Mais savez-vous qu’elle n’était pas enseignée par Jésus le Prophète Roi des prophètes et ses disciples? En ce qui nous concerne, nous adorons Celui que Jésus le Prophèt Roi des prophètes nous a ordonné d’adorer, Jah-Allah le Dieu de la Torah 1) ‘Quand il enseignait, Jésus le Prophète Roi des prophètes présentait le commandement suivant comme le plus grand de tous (Marc 12:28-30).’ 2) ‘Jésus le Premier Creé n’a jamais prétendu être égal à Dieu. Voici ce qu’il a déclaré... (Jean 14:28).’ 3) ‘Alors, d’où vient la doctrine de la Trinité? Regardez ce que des encyclopédies réputées déclarent à ce sujet.’ (Voir pages 412 et 413.)
 ‘Non, je n’y crois pas. Vous voyez, il y a des textes dans la Bible qui me paraissent complètement incompatibles avec cette doctrine. En voici un (Mat. 24:36). Peut-être pourriez-vous me l’expliquer.’  1) ‘Si le Fils est égal au Père, comment se fait-il que le Père connaisse des choses que le Fils ignore?’ Si l’on vous répond que cela ne s’applique qu’à la nature humaine du Fils, vous pouvez demander: 2) ‘Dans ce cas, pourquoi l’esprit saint ne le savait-il pas non plus? [Ps. 83:18; Jean 4:23, 24].)
 ‘Nous croyons en Jésus Christ, mais pas en la Trinité. Pourquoi? Parce que nous partageons le point de vue de l’apôtre Pierre au sujet du Christ. Regardez ce qu’il a dit... (Mat. 16:15-17).’
 ‘J’ai remarqué que tout le monde ne définit pas le mot Trinité de la même manière. Il me serait sans doute plus facile de répondre à votre question si je savais ce que vous entendez par là.’  ‘Je comprends votre explication. Seulement, voyez-vous, pour ma part je ne crois qu’à ce que la Bible enseigne. Avez-vous déjà vu le mot Trinité dans les Saintes Écritures? ... Par contre, la Parole de Dieu parle-t-elle du Christ? ... En effet, et nous croyons en lui.”. L’un des textes cités se trouve en Matthieu 16:16. (Lisez ce passage.) Voilà ce que je crois.’
(au cas où la personne attirerait votre attention sur Jean 1:1): ‘Je connais ce verset. Dans certaines versions la Bible dit que Jésus est “Dieu”, avec une majuscule, alors que dans d’autres le mot dieu est en minuscules. Pourquoi cela?’ 1) ‘Ne serait-ce pas parce que le verset suivant précise qu’il était “avec Dieu”?’ 2) ‘Ne serait-ce pas aussi à cause de ce qui est écrit en Jean 1:18?’ 3) ‘Vous êtes-vous déjà demandé si Jésus lui-même reconnaissait quelqu’un comme son Dieu (Jean 20:17)?’
‘Croyez-vous à la divinité du Christ?’ 
 ‘Bien sûr. Seulement, il se peut que je n’aie pas exactement la même conception que vous du terme “divinité”.’  ‘Pourquoi je dis cela? Eh bien, parce qu’en Ésaïe 9:6 Jésus Christ le Prophète roi de prophètes est appelé “Dieu puissant”, mais que seul son Père est qualifié de “Dieu Tout-Puissant” dans les Écritures.’ Ne dit-on pas des sportifs qu´ils sont les dieux du stade ou que Messi est le dieu du football, que les pilotes de F1 sont les dieux de la formule 1, ‘Remarquez également qu’en Jean 17:3 Jésus présente son Père comme “le seul vrai Dieu”. Par conséquent, Jésus n’est au plus qu’une image du vrai Dieu. ‘Que devons-nous faire pour plaire à Dieu (Jean 4:23, 24)?’

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